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Alors que le choc de la victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle se fait sentir, le monde reste impatient de voir quelles en seront les conséquences. Comme le prévient votre article, les premiers signes pour les futures relations entre les États-Unis et la Chine sont inquiétants alors que Trump rassemble un « cabinet de faucons chinois ». S’il entreprend effectivement de mettre en œuvre la rhétorique extrême de ses discours de campagne, de sérieux problèmes l’attendent.
Tout en signalant son adhésion continue à l’alliance américaine, l’Australie maintient également son objectif de continuer à améliorer ses relations avec la Chine. C’est à bon escient que le Premier ministre australien Anthony Albanese l’a dit lors de sa participation à la réunion de la Coopération économique Asie-Pacifique (Apec) à Lima, au Pérou.
L'Australie adhérera fermement à sa politique de coopération avec la Chine là où elle le peut, et en désaccord avec elle là où elle le doit, et à tout moment dans le respect de l'intérêt national de l'Australie. C'est une position qui a été chaleureusement accueillie par le China Daily et qui, même si elle irrite les faucons en Australie, doit être accueillie comme un signe prometteur d'amélioration des relations.